Béréchit 5780 – n°305

Nous recommençons cette semaine le ‘Houmach Béréchit, qui démarre par le récit de la création du Monde et de l’Homme par les paroles d’Hachem.

Ces récits sont la base de la foi en Hakadosh Baroukh Hou, mais malheureusement, depuis quelques années est apparue la fameuse théorie de Darwin, expliquant que l’Homme descend du singe !

Cette théorie n’est rien d’autre qu’une guerre déguisée contre Hachem et sa Thora, ayant pour but de fragiliser notre foi. Les scientifiques ont validé cette théorie et forcent même les étudiants en physique à affirmer également leur accord, avant de les accepter dans les universités ! Même en Israël bar minan, les agents du ministère de l’éducation demandent de ne pas enseigner aux enfants dans les crèches la création du Monde et de l’Homme !

Nous devons comprendre comment peuvent-ils s’enorgueillir d’être les descendants de singes ??? Ils devraient au contraire avoir honte !

L’explication est simple. Les goyim considèrent de toute façon leurs parents comme des vieillards. Plus les générations avancent, plus elles deviennent intelligentes, profitant des découvertes technologiques, alors qu’il y a quelques générations à peine, leurs parents ne savaient même pas lire, et encore plus loin, ils appartenaient à l’âge de pierre etc. Ainsi, ils ne ressentent aucune gêne en disant que leurs ancêtres étaient des singes.

Par contre, les Bné Israël savent au contraire que si nos ancêtres étaient des anges, nous sommes des hommes, et s’ils étaient des hommes, nous sommes des ânes ! Nous considérons nos ancêtres comme des personnages tellement élevés dont nous n’avons aucune véritable notion ! Nous sommes persuadés que notre niveau est à des années lumière de Baba Salé, qui était lui-même très éloigné du Ari Zal, et le Ari Zal du Rambam, le Rambam des Sages de la Guémara, les Sages de la Guémara des Sages de la Michna etc jusqu’à Moché Rabénou. Ainsi, comment un juif pourrait être tenté de croire que nous descendons des singes has véchalom ?

C’est donc l’occasion pour nous de renforcer notre foi en affirmant que l’immensité et l’infinité de la Thora ne sont pas compréhensibles complètement par l’Homme, et d’avoir l’humilité de reconnaître la grandeur d’Hakadosh Baroukh Hou et notre ridicule niveau qui ne saurait remettre en cause même partiellement une seule lettre de la Thora, qui n’est autre que la science divine.

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